Lost in Translation
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Comédie dramatique
Public:
Année de production: 2003
Date de sortie:
14/01/2004
Durée: 1h42
Synopsis :
Bob Harris, star de cinéma dont la carrière décline, arrive à Tokyo pour tourner une publicité. Bob a conscience qu'il se trompe - il devrait être chez lui avec sa famille, jouer au théâtre ou encore chercher un rôle dans un film -, mais il a besoin d'argent. Du haut de son hôtel de luxe, il regarde la ville, mais ne voit rien. Il est ailleurs, détaché de tout, incapable de s'intégrer à la réalité qui l'entoure, incapable aussi, à cause du décalage horaire, de dormir. Dans ce même hôtel, Charlotte, une jeune américaine tout juste sortie de l'université, accompagne son mari, photographe de mode de la jet set. Ce dernier semble s'intéresser davantage à son travail qu'à sa femme. Se sentant délaissée, Charlotte cherche un peu d'attention. Elle va en trouver auprès de Bob. Entre le comédien d'âge mûr et la toute jeune femme se noue alors une étrange relation: perdus dans cet univers où tout leur est étranger, ils rêvent de changement affectif, mais craignent de s'y risquer. Abandonnés à eux-mêmes, insomniaques, sans même se confier vraiment l'un à l'autre, les voilà qui errent ensemble dans Tokyo, la nuit.
Avis des internautesdu film Lost in Translation
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Publié le 2 avril 2004
2ème film, presque sans faute, dans un tout autre genre que Virgin Suicides, Sofia nous a à nouveau prouvé qu'elle n'avait pas hérité de son père que le nom. seul bémol, le coté 'ces japonnais sont pas normaux' un poil lourd par moment, sinon pour le reste, rien à dire. Je me suis pas enmerdé une seul seconde malgré le rythme 'assez' calme. Et puis je suis directement tombé amoureux de Scarlet Johanson. A voir absolument tout en ayant a l'esprit que ce n'est pas un virgin suicides bis.
Publié le 30 mars 2004
Je suis déçu. Et je n'aime pas cela. Le film démarre bien, le cadre original, del'humour, une caricature amusante du Japon. Ensuite, on aimerait que l'histoire démarre, mais rien. La caricature devient du manque de respect, l'humour disparaît, et la psychologie des personnages restent très superficielles, comme souvent quand le ciné américain tente de faire ressortir la profondeur des personnages. On sort de la salle avec un manque, des questions, que peut -on retirer des rôles après la vision du film ? Rien de plus qu'au début. Quand Murray dit:'après le premier enfant, la vie n'est plus pareille' je n'avais pas beson d'attendre ça pour le savoir. La morale pourrait être: si tu ne te remues pas, rien ne peut t'arriver...
Publié le 24 mars 2004
C'est vrai qu'à l'autopsie c'est pas du grand grand film mais si certain trouvent la caricature japonaise un peu forcée, on doit bien admettre que la justesse du film se situe ailleurs ; et celle-ci resterait sûrement si le film s'était déroulé aux USA ou à Marchienne-au-pont. En plus la B.O. ne gâche rien...
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Lilith