L'Espion qui m'aimait

Titre original: The Spy Who Loved Me
Origine:
  • Royaume-Uni
Genres:
  • Espionnage
  • Action
Public: Tout public
Année de production: 1977
Durée: 2h05
Synopsis : James Bond interrompt une mission en cours sur ordre de 'M' qui le rappelle à Londres de toute urgence. Alors qu'il est en route pour rejoindre son QG, Bond est pris en chasse par des agents du KGB qui l'entraînent dans une poursuite à ski. 007 élimine l'agent Sergei Bargov avant de se jeter du haut d'un précipice et d'ouvrir un parachute. Dés son arrivée au MI6, Bond est mis au courant de la situation : il semblerait que deux sous-marins, un britannique et un soviétique se soient mystérieusement volatilisés. Les forces de l'Est accusent celles de l'Ouest et vice versa, chacune des parties menaçant l'autre de déclencher un conflit nucléaire en cas de récidive. Le MI6 et le KGB pensent que ces disparitions pourraient être imputables à une tierce puissance. Pour la première fois, les deux services décident de s'allier et de confier à leurs meilleurs agents le soin d'éviter une troisième guerre mondiale : James Bond pour le MI6 et la très séduisante Anya Amasova, l'agent Triple-X, pour le KGB. Source : www.jamesbond007.net
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Avis des internautesdu film L'Espion qui m'aimait

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Publié le 16 janvier 2007
Après un neuvième opus assez catastrophique (voire même le plus mauvais épisode de toute la grande saga), il fallait absolument que le dixième soit un retour aux sources et laisse tomber les côtés fantaisiste et " je m’en foutiste " omniprésents dans Vivre et Laisser Mourir et L’Homme au Pistolet d’Or. Roger Moore rempile pour la troisième fois dans le rôle de James Bond et laisse sa facette comique de côté pour mieux se rapprocher du 007 de Ian Fleming. Autant le dire tout de suite : ce changement de caractère du personnage donne au film une force qu’on ne verra plus trop par la suite chez l’ami Roger (à part dans Rien que Pour vos Yeux). Bond est ici plus arrogant (la réponse qu’il donne à Amasova lorsque celle-ci lui déballe son curriculum vitae…du pur 007 !), plus distant malgré le faible qu’il a pour son équipière. Autre changement, celui du réalisateur. Guy Hamilton avait presque flingué la saga et il était temps d’engager un autre homme capable de donner un second souffle au style cinématographique de la saga. C’est finalement Lewis Gilbert qui se charge de la mise en scène (il avait déjà réalisé le très bon On ne Vit que Deux Fois). Celle-ci est stylée, efficace, remarquable et purement Bondienne. Un épisode important dans la saga, considéré à juste titre comme le meilleur film de la période Moore, et plus que certainement le plus beau des quatre Bond sortis dans les années septante. Un must !
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