Wall-E
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Film d'animation
- Aventure
Public:
Année de production: 2008
Date de sortie:
30/07/2008
Durée: 1h43
Synopsis :
Après des centaines d’années de solitude à accomplir la tâche qui lui incombe – nettoyer la planète - WALL-E se découvre un nouveau but (à côté de son penchant à collectionner du bric à brac) lorsqu’il rencontre un superbe robot appelé EVE. WALL-E et EVE vont traverser la galaxie toute entière et prendre part à une belle et trépidante aventure. Accompagneront WALL-E dans son voyage fantastique à travers un univers unique un ensemble de personnages hilarants tels qu’un cafard domestique ou un groupe de robots déglingués...
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7.5/10 Cote de du film Wall-E
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10.0/10 Cote de du film Wall-E
Avis des internautesdu film Wall-E
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Publié le 7 août 2008
Très beau film, rempli de poésie, d'humour subtile (en effet on n'est pas plié en 2 sur son siège), beaux plans, belle musique, wall-e est trop mignon,...
On sort de là le sourire aux lèvres, que demander de plus.
Oui le message écolo est bateau et voir les humains gâche un peu le paysage, mais à mon sens Wall-e rempli tout ce qu'on attendait de lui.
J'ai déjà été le voir 2 fois et c'est encore plus magnifique la deuxième fois.
bon ok je passe un peu pour la groupie romantique du coin, mais quand je suis sortie de la projection c'est la première chose qui m'est venue à l'esprit: c'est une comédie romantique...avec des robots.
Eveeeeeeeeeeee :)
Publié le 6 août 2008
Déçu? Sans doute. Partagé? Absolument! Le dernier Pixar-Disney est vraiment un cran en-dessous de 'Ratatouille'. Mais pourquoi donc? Parce qu'il se contente essentiellement d'un pitch et d'un personnage, il est vrai, excellents. POUR: le personnage de Wall-E, mélange de Charlot et d'un vide-ordure monté sur chenilles, a un indéniable côté poétique et artiste contrastant avec ce pour quoi il a été conçu, le compactage des déchets de notre société de sur-consommation, et la maîtrise technique permettant au Studio Pixar de donner un regard à une paire de jumelles auto-focus est bien entendu époustouflante...; l'idée de base du scénario, de montrer à des enfants américains (et autres) une planète dénuée de vie organique (excepté un cafard...) en raison d'un ensevilissement sous les ordures non-biodégradables, au point que l'Humanité a dû s'exiler dans l'espace intersidéral, est a priori surprenante et pertinente dans le cadre d'un film d'animation. CONTRE: le scénario n'exploite vraiment pas ces qualités et, même, les émascule par une mièvrerie confondante (l'exil dans l'espace est réduit à une croisière débilitante permanente et sans fausses notes, p. ex., ou la nostalgie du passé de l'Humanité se limite à des extraits peu émouvants de 'Hello Dolly' et la valorisation de l'agriculture - tant qu'à prendre, la mise en abyme aurait été plus signifiante avec 'Mary Poppins' ou 'Limelight' ou... -), de nombreuses répétitions exaspérantes (surtout dans la seconde partie du film, dans le vaisseau spatial), une platitude dans les moments dits poétiques telle que l'on ressent finalement très peu d'émotion, un humour trop rare (la salle rit peu, soyons objectifs!) et des ratages esthétiques inacceptables, vu l'ambition du propos (ils sont très nombreux, de l'aspect du vaisseau spatial à celui des humains dégénérés, de celui du perfide ordinateur central - le robot-concierge à l'entrée des quartiers du capitaine est d'un abord plus impressionnant, c'est dire... - à celui du président de la société commerciale à la tête du monde entier - on le suppose, du moins... -, sans oublier un affreux générique final mixant sans aucune classe l'art égyptien, l'impressionisme, Van Gogh et Atari!). Oui, vraiment décevant, mais il est vrai que j'en attendais beaucoup, vu les réussites du Studio, du film d'animation informatique en général, et les critiques superlatives quasi-unanimes...
Publié le 6 août 2008
tout ce bla bla pour rien ... petit divertissement on en attendait pas un chef d oeuvre mais l'émotion est présent que dire de plus que allez le voir si vous avez envi de penser à autres choses
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Fabien Ivergneau