Un homme d'exception

Titre original: A Beautiful Mind
Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 2001
Date de sortie: 13/02/2002
Durée: 2h15
Synopsis : Le jeune mathématicien de génie John Forbes Nash Jr. découvre la théorie des jeux et semble promis à une brillante carrière internationale. Mais affecté en pleine guerre froide à un projet de décryptage des codes secrets soviétiques, il finit par sombrer dans la schizophrénie. Son avenir prodigieux semble réduit à néant. Toutefois, obsédé par sa découverte et soutenu par sa femme, Nash ne baisse pas les bras et surmonte cette tragédie, au bout d'une lutte interminable. Il obtient le Prix Nobel en l994.
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    8.2/10 30 votes - 32 critiques

Avis des internautesdu film Un homme d'exception

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Publié le 7 mars 2002
Personnellement ce film m’a bouleversé, la lente descente aux enfers de cet homme fut pour moi plus un chemin initiatique qu’une histoire tragique comme tant d’autres, abordant les concepts de la compassion, de l’espoir, de l’amour, mais aussi de la détermination, de la volonté. La seule petite fausse note du film, c’est la prestation de Crowe qui par moment m’a interpellée, j’ai trouvé le jeu de Crow - celui d’un individu introverti et donc déphasé par rapport à la réalité «sociale» dans laquelle il baigne - un peu trop exagéré, par moment j’avais l’impression d’avoir devant moi le personnage de RAIN MAN, ca m’a parfois dérangé mais sans plus, j’ajouterai que le plus grand rôle de Russel Crowe restera pour moi celui de SID dans VIRTUOSITY, c’est dans ce film que Crowe explose littéralement l’écran, cela dit le film est tellement bien monté qu’à plusieurs reprise j’ai vraiment eu l’impression que ces présences étaient réelles, pour à un moment aboutir à l’inévitable conclusion. Celle dont je veux absolument parler c’est de La fabuleuse Jennifer Connely. Du magique Labyrinth avec Bowie au magistral Dark City de Proyas en passant par le divertissant Roketeer, Jennifer n’a jamais vraiment eu l’occasion de prouver son talent, c’est ici qu’elle montre qu’elle est une grande actrice, sa présence est aussi forte que la détresse dans laquelle Crowe s’enfonce et c’est ce paradoxe qui donne au film cette extraordinaire intensité. Dès l’ouverture du film, on tombe sous le charme de la musique d’un des meilleurs compositeur de musique de films que je nommerai James Horner (avec Williams, Goldsmith, Silvestri,…), il est manifeste que les partitions nous renvoient au génial SEARCHING BOBBY FISHER ou encore SWING KID mais aussi à SPITFIRE GRILL ou encore SNEAKERS mais c’est tellement beau qu’on lui pardonne son manque de créativité, en fait Horner à partir d’un certain moment a créé une mélodie typique que l’on retrouve aujourd’hui dans quasi toute les musiques qu’il crée, je pense que c’est à partie de SNEAKERS que ca a commencé, malgré tout il reste un de mes préférés. J’ai envie de dire que Ron Howard c’est du Spielberg de bonne qualité, j’entends par là qu’il est capable de faire Des films très intense sans tomber dans la guimauve habituelle américaine, le petit Richie Cunningham a fait un sacré chemin depuis Happy days. Bref ce film est tout bonnement fabuleux et mérite ses oscars, on pourrait le traduire par : «Seul l’amour de la femme peut guérir l’homme de sa folie»

Publié le 1 mars 2002
Très bon film! Excellente interprétation de Russel Crowe!! A voir...

Publié le 1 mars 2002
C'est pour moi un des meilleurs films sur la schizophrénie, évidemment le chef d'oeuvre sur le sujet est sans conteste 'l'oeil de Caïn'. J'apprécie de voir à nouveau Russel Crowe dans ce qu'il interprète le mieux, un homme avec toute sa frgilité, et oui il a joué d'autres rôles de composition, sobres et intelligemment que Gladiator. Il est vrai que les autres personnages sont très bien interprétés. Bons angles, bon rythme et belle musique... Pour ceux qui trouvent ce film mièvre c'est qu'ils sont passé à côté de la détresse qu'éprouve un homme à l'esprit si brillant. A voir et à revoir dans quelques années , voire si le film a mal vielli ou pas.

Publié le 27 février 2002
Une interprétation d'exception pour un personnage victime de sa complexité, celle qui lui permit une vision précise de certains ensembles mathématiques. Un scénario, ou seul l'amour de sa femme lui donne un sens malgré la folie, seul contact avec la réalité qui lui redonne confiance. Construction simple mais efficace à l'image du cinéma américain qui se veut toujours être le plus accessible possible. A voir certainement.

Publié le 27 février 2002
Tres bien, bonne mise en scène

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