Pleasantville

Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 1998
Date de sortie: 21/04/1999
Durée: 2h04
Synopsis : Ce conte moderne raconte l'histoire d'une petite ville fictive qui se voit offrir l'opportunité de découvrir les dangers et les plaisirs de la vie réelle. Deux adolescents bien de leur époque mettent en couleurs une mystérieuse banlieue prisonniére de l'utopie en noir et blanc des années '50'.
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    5.3/10 3 votes - 3 critiques

Avis des internautesdu film Pleasantville

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  • 1
Publié le 23 juillet 1999
Très bon film, malgrè une fin assez décevante. On y rigole bien, bon rine à voir avec le Truman show, mais c'est très bien quand même. Il mérite bien son statut de film du Styx. :-)

Publié le 28 juin 1999
Quelle horreur ! j'ai subi ce *navet* à la nuit du fantastique... pitié plus jamais... moi qui apprécie les films exigeant une épaisse couche de neurones, quelle dépception ! Poubelle ! 0/5 !

Publié le 4 mai 1999
Très bonne idée au départ (un ado à mère volage et père absent rêve de vivre à Pleasantville, ville fictive d'un soap opera américain où 'tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil' dans la plus pure tradition des fifties. Son rêve se réalise, tourne au cauchemar pour finalement s'orienter ver un 'Happy end'), très bon casting (Tobey Maguire est capable d'un jeu très sensible et subtil, à la manière de son meilleur copain, DiCaprio. On se rend compte que son physique plus ingrat pourrait à terme se transformer en avantage s'il entend se maintenir dans des interprétations de qualité), très très bonne photo. Néanmoins grosse déception à l'arrivée. Les références sont nombreuses : 'Jumanji', 'Truman show' (et l'ancêtre 'Le prisonnier') voire même les contes de fées à la 'Cendrillon'. Le film esquisse également le propos intéressant selon lequel la vertu pour elle-même et le bonheur dépourvu de nuages sont gris, oppressants, inhumains et, paradoxalement, porteurs de malheur et d'aliénation. La nuance n'est par ailleurs pas absente du discours, dans la mesure où il est également montré que la recherche du plaisir ne génère quant à elle pas que du bonheur (mais aussi la compétition, la loi du plus fort etc.). Mais tout cela n'est qu'esquissé et par ailleurs noyé sous des tonnes de guimauve. D'autre part, on aurait pu s'attendre, vu l'histoire, à une ambiance tenant du cinéma fantastique, dotée pour le moins de quelques 'atmosphères'. Mais rien de tout cela : tout est désespérément narratif, dépourvu de fantaisie, linéaire. Bref : le réalisateur aurait pu faire beaucoup mieux avec une telle matière (c'était déjà ce que je pensais, dans une certaine mesure, de 'Truman Show', qui était cependant meilleur que 'Pleansantville') mais le divertissement n'en demeure pas moins agréable. A voir en famille.
  • 1

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