The Grudge (2004)

Origines:
  • États-Unis
  • Japon
Genres:
  • Thriller
  • Horreur
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 2004
Date de sortie: 02/02/2005
Durée: 1h31
Synopsis : Venue pour un stage d'étude à Tokyo, Karen, qui remplace une infirmière à domicile, est envoyée au chevet d'une compatriote âgée, Emma. Les lieux, comme la vieille dame, semblent mystérieusement laissés à l'abandon. Karen ne va pas tarder à découvrir que la maison cache l'un des fléaux les plus épouvantables qui soient...
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    6.4/10 58 votes - 60 critiques

Avis des internautesdu film The Grudge (2004)

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Publié le 3 janvier 2007
Voilà un des films les plus effrayants de ces dernières années. Je défie quiconque me disant qu’il n’a pas sursauté sur ce film. Tout est mis en place pour nous faire passer un délicieux moment d’épouvante. Plongés dans un pays qu’ils ne connaissent pas et ne comprenant pas la langue de celui-ci, des étrangers (américains) décèdent les uns après les autres dans une maison maudite hantée par des fantômes effrayant au possible. On a peur et c’est bien le but non ? Mais longtemps après la vision du film on cogite encore tant l’impression laissée par ce film dérange et vous incite à regarder deux fois en dessous de votre lit avant de vous endormir. Sarah Michelle Gellar étonne dans un rôle à l’opposé de ses téléfilms gnan-gnan. Ce film confirme ce personnage de la jeune-fille-aux-longs-cheveux-noirs et à la démarche-saccadée-zombie devenu culte dans la filmographie asiatico-américaine du film d’épouvante. Ce petit chef d’œuvre préfigure une suite que l’on espère aussi bonne. Quel délice que ce film !!!

Publié le 27 mars 2006
On passe de très bOns mOments malgré un manque de dialOgues.. Un suspense terrible ! On s'y attache, On a (un peu) peur, et ça passe très bien !

Publié le 28 décembre 2005
Et bien, j'ai apprécié. J'ai même aimé. Certes, certains points sont maladroits ou ratés: erreurs de casting (Ted Raimi ou le gars qui fait le copain de SMG par exemple), spectre en CGI foirés (les cheveux digitaux sortant du plafond, ça désamorce tte la tension de la scène), prévisibilité maximale de certaines frayeurs, recours quasi-systématique au vieux procédé "bouh-t'as-eu-peur-hein?" là où une progression plus réfléchie de la trouille aurait été plus efficace, scénario anémique qui pue le prétexte à 1000 lieues... Il y a même parfois un ridicule involontaire préjudiciable à l'ambiance que le film essaie de poser: je pense ainsi à la scène où l'expert immobilier qui fait visiter la maison aux futurs locataires voit que la baignoire est remplie d'une eau noirâtre qui ne s'écoule pas, cherche à la déboucher manuellement et se fait saisir le bras par la main du spectre... grosse surprise du gars qui se ressaisit immédiatement pour conclure la vente... Donc, oui, le film a des défauts. Mais pourtant, la sauce prend. On ressent un peu de cette frayeur que le cinoche peine à transmettre ces derniers temps. A ce titre, certaines scènes sont remarquables. Le coup de l'ascenceur où le gamin apparaît (à poil?) à tous les étages sans que la future victime ne le voie, le visage du fantôme dans la vitre du bus, la descente des escaliers finale... On notera certaines références assez appuyées à d'autres films de cette mouvance horrifique japonaise. Bien entendu, Ring avec les coups de fil sponsorisé par le bicarbonate de soude, et également ce chef d'oeuvre absolu qu'est Dark Water avec les nombreuses scènes de baignoire. D'ailleurs, la première image que l'on voit dans ce film est un rivière: l'eau semble décidément incontournable quand l'on parle de fantôme au Japon. Le design du générique de début rappelle aussi Dark Water: des espèces de cheveu dans l'eau qui forment des lettres. On peut également distinguer une autre référence faite à Memento Mori, film de fantômes Coréen sorti il y a 2-3 ans: le coup de la main étrangère qui se ballade dans les cheveux... Frappant et extrêmement efficace... bien que prévisible. Bien trop prévisible. Autre référence à Memento Mori, le journal intime explicatif de la hantise. Les acteurs à présent: bien que la présence de SMG n'était pas sans susciter chez moi de très gros doutes, il faut reconnaître que si elle n'est pas du tout la meilleure actrice du monde, elle se débrouille dans The grudge. Rien de remarquable, mais rien de déshonorant non plus. Au moins ne dessert-elle pas le film. Bien entendu, ceux qui ont vu l'original auront probablement un autre avis. Cléa DuVall est impeccable (rôle court, mais très bien tenu) et Bill Pullman n'en fait pas trop (même si sa tête du début est limite surjouée). Par contre, les acteurs japonais sont irréprochables: le détective joue parfaitement le coup. Le gamin est flippant, il faut aussi le souligner. Dans les autres points forts du film, on notera également un travail remarquable effectué au niveau du son: la teneur du son ambiant change toujours lorsque le spectre rôde... Même si le rot de 10 minutes est un procédé assez limite, voire involontairement drôle, il fat son petit effet la première fois qu'on l'entend. Les petits bruitages de la maison maudite font subtilement grimper la tension, mais, défaut de leur qualité, rendent hyper-prévisibles (défaut décidément récurrent) toutes les apparitions du spectre. Autre sujet de réflexion, une réalisation typée et assez stylée, sans pour autant être exempte de maladresses. La narration déstructurée, assez casse-gueule sur le papier prend ici une allure agréable: en fait, le point de vue que le spectateur a est celui du fantôme lui-même. Il sait ce qu'il a fait (là où les autres persos ne peuvent faire que des suppositions). Un autre point intéressant est la récurrence de "cadre dans le cadre", où les portes (d'entrée, de placard) jouent un rôle symbolique capital: après tout, rien de plus normal pour un film qui parle des liens entre 2 mondes diffèrents. La plupart des apparitions du spectre se déroulent ainsi dans un lieu de "transition" entre 2 endroits: embrasure de porte, ascenceur (ce qui est aussi le cas dans Dark Water, tiens tiens...), couloir, cage d'escalier... Des endroits de passage (mais pas des endroits où l'on reste) en somme. Et quand ce n'est pas dans un tel endroit, l'exception nous fait apparaître le spectre dans le lieu ultime où l'on est censé se sentir le plus en sécurité: à l'intérieur de notre propre lit. Quand les peurs les plus enfantines deviennent réalité (il y a un monstre au pied de mon lit...). Certains ont avancé, je crois, le fait que la raison de la "vengeance" du/des fantômes n'était pas claire. Il n'y en a pas en fait. La seule raison du fantôme d'en vouloir à ces personnes, c'est le fait qu'elles soient vivantes et que lui soit mort. Ce jusqu'auboutisme est assez rare. Son côté destabilisant est un plus, je trouve. Il n'y a rien à faire pour soulager l'esprit du fantôme. La peur n'en prend que plus de force. Comme le disait Shirley Jackson dans The haunting of Hill House (qualifié par Stephen King de meilleur roman d'horreur des 100 dernières années... bon, en même temps, il dit qu'Hannibal est mieux que le Silence des agneaux, mais bon...): "Et Hill House se dressait là. Et ce qui y déambulait, y déambulait tout seul."

Publié le 4 août 2005
Une grosse merde cinématographique. Patéthique,...je n'en dirais pas plus...Pffff

Publié le 14 juillet 2005
D'abord, j'ai voulu voir ce film car ma star preferee, l'ex star de "Buffy contre les vampires", jouait dedans (ndrl; Sarah Michelle Gellar). J'ai 12 ans, et j'ai regarde seul ce film (loué) dans ma chambre le soir (mais pas en cachette c'est car les autres ne voulaient pas voir LOL).. Je l'ai adoré, l'idee est tres bonne et pourtant, Sarah Michelle n'est pas enormement presente! Beaucoup de frissons grace au jeux de musique qui bougent sans arrets, le film n'est pas des plus "sanglants" car sans la musique ce serait un compte pour les petits LOL.. En bref, je vous le conseil fortement, et surement la suite car nous restons sur notre faim a la fin du film!!

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