Didier

Origine:
  • France
Genre:
  • Comédie
Public: Tout public
Année de production: 1997
Date de sortie: 29/01/1997
Durée: 1h45
Synopsis : Jean-Pierre, un agent sportif, est empêtré dans ses problémes, et pour lui ce n'est pas du tout le jour pour garder Didier, le labrador d'une amie, pendant une semaine. Le lendemain, une découverte extra-ordinaire va l'entraîner dans la plus hallucinante des aventures, où son pire cauchemar risque bien d'être la chance de sa vie...
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    9.0/10 4 votes - 4 critiques

Avis des internautesdu film Didier

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Publié le 27 mai 2006
Un classique aussi ! A voir et a revoir!

Publié le 31 mars 2006
A ce jour, ce film est toujours une référence pour moi. Le jeu d'acteur d'Alain Chabat est exceptionnel. Dans une vie antérieure, il doit avoir été un chien...c'est impossible autrement ! :-)

Publié le 1 mars 2006
Pas d'accord!!!! Un de mes film-culte(d'ailleurs récompensé par un césar de la meilleure première oeuvre : très rare pour une comédie). Oui, l'idée de départ est saugrenue mais on y croit grâce aux acteurs (Bacri-Chabat : quel duo!), à l'humour omni-présent et ne tombant pas du tout à plat!, au rythme du film( je mets votre critique sur le compte d'une grosse déprime) et à l'énergie qui s'en dégage! Un pur régal...

Publié le 28 août 2003
Fallait oser : 1) une nuit, un labrador (Elliot) se transforme en homme (Alain Chabat) ; 2) un manager de foot tente de le refourguer à une équipe de D1 française en le faisant passer pour un attaquant lituanien (!?!) Le film se résume à ces deux coups de forces scénaristiques, à ces deux idées folles, farfelues, franchement grotesques et parfaitement réjouissantes. Rien que pour ça, Didier est une entreprise sympathique. Malheureusement, le rythme n'est pas toujours trépidant, la moitié des vannes tombent à plat, beaucoup de personnages sont caricaturaux sans être drôles... Bref un trop long sketche, prévisible et linéaire, dans lequel on n'entrevoit que par intermittence le génie comique de feux les Nuls (on retiendra tout de même le disque oï qu'écoute les skins dans leur bagnole (toutes les plages sont strictement identiques) tandis que pas mal de petits détails hilarants (un défenseur mis dans le vent poursuit sa course et se mange les publicités en arrière-plan, un type à poil fête la victoire avec les supporters...) égayent le final au Parc des Princes (un sens de l'arrière-plan qui doit beaucoup à la bédé burlesque, dont Chabat est un grand amateur)). Une demi-réussite (dans son genre très mineur), sauvée tout de même par la performance étonnante d'Alain Chabat, ce merveilleux cabot(ineur). 11/20
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