Dracula Untold

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Action
  • Drame
  • Fantastique
Public: Tout public
Année de production: 2014
Date de sortie: 01/10/2014
Durée: 1h37
Synopsis : L’histoire débute en 1462. La Transylvanie vit une période de calme relatif sous le règne du prince Vlad III de Valachie et de son épouse bien-aimée Mirena. Ensemble, ils ont négocié la paix et la protection de leur peuple avec le puissant Empire ottoman dont la domination ne cesse de s’étendre en Europe de l’Est. Mais quand le sultan Mehmet II demande que 1000 jeunes hommes de Valachie, dont le propre fils de Vlad, Ingeras, soient arrachés à leur famille pour venir grossir les rangs de l’armée turque, le prince doit faire un choix : abandonner son fils au sultan, comme son père l’a fait avant lui, ou faire appel à une créature obscure pour combattre les Turcs et par là même assujettir son âme à la servitude éternelle...
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    4.8/10 5 votes - 4 critiques

Avis des internautesdu film Dracula Untold

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  • 1
Publié le 13 octobre 2014
Je suis allée voir ce dernier remake de Dracula un peu par hasard... Pourtant je ne regrette absolument pas d'avoir dépensé 7 euros pour le voir. Le film est globalement bien réalisé (malgré quelques incohérences mais bon, quand on veut chercher la bebête, on peut chercher loin), le jeu d'acteurs est intéressant (Luke Evans endosse bien le rôle du comte), l'histoire est prenante du début à la fin. Je le conseille à tous, ce film constitue un très bon divertissement !

Publié le 5 octobre 2014
Version plus réaliste et historique de dracula. Ancien soldat-esclave de l'empire turque, Vlad est devenu prince de sa région d'origine et se contente de payer un tribut au sultan. Lorsque ce dernier repasse à l'offensive avec son armée en Europe, il exige à nouveau un milier d'enfants dont le fils de Vlad. Ne voulant pas faire subir le sort à son fils qu'il a subi lui-même enfant, il se rebelle et se jure de tout faire pour protéger les siens. Approche intéressante mais le film aurait dû être un peu plus élaboré et éviter certaines incohérences bien que la réalisation n'a pas trop manqué de moyens pour les effets.

Publié le 4 octobre 2014
(Attention spoiler mais on va se poiler) - Un scénario coupé à la hache. Scène 1, c'est bon? Allez hop, scène deux, pas besoin de les raccorder. Fait jour, fait nuit, fait jour, pas de cohérence, on s'en fiche. - Des incohérences en veux-tu en voilà. Comment un vampire coincé dans une caverne dont il ne peut pas sortir, coincé au fin fond d'une montagne réputée maudite et nécessitant une bonne dose d'escalade peut se retrouver tout d'un coup avec des centaines de cadavres turcs pour se régaler? Il a organisé une garden partie? Un troupeau de turcs qui attaque le château? Bien sûr il vont tous attaquer notre héros tout seul sur le champ de bataille plutôt que de mettre à sac le château grand ouvert derrière. D'ailleurs, vu la scène du repas, ce n'est pas un château qu'il gère, c'est un moulin, on rentre comme on veut. - Des très très beaux faux raccord, avec des personnages qui apparaissent d'on ne sait où, voir se téléportent vraisemblablement, comme son fils qui descends d'une tour de 400 mètres plus vite que sa mère n'en met à en en tomber. Balaise les ascenseurs de l'époque. Et parlons en de cette chute. Vachement solide, pas une égratignure à atterrissage la femme. Quand je pense que des gens meurent en tombant d'un tabouret.... - Du pseudo historique. Dommage que tout, aboslument tout, sonne faux. Sérieux, le sultan qui a la démarche gangster? Il n'a pas fait ses classes militaires??? - Mais le pire, ce sont les scènes de nuit. Tournées de jour avec juste un filtre bleu, j'aimerais franchement bien qu'il fasse aussi clair la nuit quand je rentre à vélo, ça me faciliterais le trajet :) Sérieux? Il fait plus clair qu'une journée d'hiver en Belgique. D'ailleurs, la scène finale introduisant la suite (pitié, non) est carrément tournée de jour, doivent avoir mis de l'écran total... Bref, 1 point, parce que c'est poilant, mais franchement pas volontaire.

Publié le 2 octobre 2014
La politique actuelle des studios hollywoodiens est de ne plus prendre de risques : remakes, reboots, sequels, prequels, spin-off... Si on finit une trilogie, on en commence une autre (Spiderman, Star Wars), si Christian Bale jette la cape de Batman, on appelle Ben Affleck ; on trimballe les X-Men dans le passé, le futur, le passé et le futur, on décline Wolverine. On regroupe les Avengers pour les reséparer (Iron Man, Thor, Captain America). Et si on laisse les superhéros au repos, on fait revivre les super vilains (Halloween, Massacre à la tronçonneuse). Sans compter qu'on sera bientôt au 10ème opus de Transformers, Fast&Furious, Saw, Underworld... Mais comme le réservoir des produits recyclables n'est pas infini, il faut bien trouver des idées pour de nouvelles franchises, mais sans pour autant risquer de créer un nouveau personnage. Alors on puise dans les séries (21Jumpstreet, Miami Vice, The Equalizer, Tortues Ninja) ou dans les mythes comme Hercule ou Dracula. En essayant un angle d'attaque un peu original. Hercule sera un mercenaire, Dracula un père aimant qui vendra son âme pour sauver son fils. Acceptant de pactiser avec un vampire afin d'obtenir une force surnaturelle qui lui permettra de se défaire de ses ennemis qui veulent lui enlever son fils, le Prince Vlad apparaît alors comme un valeureux combattant bon père de famille et non uniquement comme une créature sanguinaire. Passé ce pitch de départ, rien de à signaler. Combats, sangs, chauve-souris et effets spéciaux gothico-kitsch qui rappellent Van Helsing et puis basta. Pas de surprises, pas de scénario, pas de subtilités. On admettra quand même que Luke Evans endosse pas top mal la cape du comte suceur de sang et heureusement puisque les scénaristes ont ouvert grand la porte aux suites. Oui car si vous ne l'aviez pas encore compris, ce Dracula untold est bien le premier produit d'une franchise...
  • 1

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