Habemus Papam

Origines:
  • Italie
  • France
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 2011
Date de sortie: 07/09/2011
Durée: 1h42
Synopsis : Après la mort du Pape, le Conclave se réunit afin d'élire son successeur. Plusieurs votes sont nécessaires avant que ne s’élève la fumée blanche. Enfin, un cardinal est élu ! Mais les fidèles massés sur la place Saint-Pierre attendent en vain l’apparition au balcon du nouveau souverain pontife. Ce dernier ne semble pas prêt à supporter le poids d’une telle responsabilité. Angoisse ? Dépression ? Peur de ne pas se sentir à la hauteur ? Le monde entier est bientôt en proie à l’inquiétude tandis qu’au Vatican, on cherche des solutions pour surmonter la crise...

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Avis des internautesdu film Habemus Papam

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Publié le 24 avril 2012
Loin d'être un grand film, il peut prétendre à nous permettre d'approcher un milieu peu connu, celui de la curie romaine. Un rôle à la hauteur de ce que peut donner M. Piccoli, toujours grandiose plus encore qu'il a l'âge de beaucoup de papes. Ni documentaire, ni pure fiction....un film à conseiller surtout aux fans de M.P.

Publié le 12 avril 2012
Des longueurs, c'est ennuyant, malgré le pseudo comique (ou tragique). Ridiculisant. Un jeu d'acteurs vraiment pas extraordinaire. Même celui de Piccoli. Je m'attendais à beaucoup mieux de la part du réalisateur de la "chambre du fils". Le sujet aurait pu être très intéressant, pourtant, si plus pondéré.

Publié le 3 janvier 2012
Superbe film... Très touchant et drôle, surtout si l'on connaît les autres films de Moretti. Chef-d'oeuvre méconnu: PALOMBELLA ROSSA (1989)... Introuvable à part sur amazon.it. 1. The Tree of Life (Terrence Malick) 2. Melancholia (Lars Von Trier) 3. Pater (Alain Cavalier) 4. Habemus Papam (Nanni Moretti) 5. The Hunter (Rafi Pitts) 6. Attenberg (Athina Rachel Tsangari) 7. Une Séparation (Asghar Farhadi) 8. Black Swan (Darren Aronofsky) 9. Aurora (Cristi Puiu) 10. La Guerre est Déclarée (Valérie Donzelli) 11. Le Quattro Volte (Michelangelo Frammartino) 12. La B.M. du Seigneur (Jean-Charles Hue) 13. L’Appolonide (Bertrand Bonello) 14. Meek’s Cutoff (Kelly Reichardt) 15. Le Gamin au Vélo (Luc et Jean-Pierre Dardenne) 16. Kill List (Ben Wheatley) 17. Super 8 (J. J. Abrams) 18. Essential Killing (Jerzy Skolimowski) - Des Filles en Noir (Jean-Paul Civeyrac, 2010) 19. Drive (Nicolas Winding Refn) 20. A Chacun Sa Place (Victor-Emmanuel Boinem) Ce top sera incomplet tant que je n'aurai pas vu HORS SATAN, LES MYSTERES DE LISBONNE, UN ETE BRULANT, etc. Mais que font les exploitants?! Balancez des vrais films! Allez!

Publié le 6 novembre 2011
Film à l'humour joliment décalé qui en plus de nous plonger par moment dans une certaine allégresse permet surtout de se poser de bonnes questions existentielles en ridiculisant sans méchanceté certains aspects du christianisme et plus globalement de la société actuelle. C'est pas toujours passionnant et ça tourne rapidement à la figure de style, le surréalisme est par moment drôle puis par moment trop appuyé mais la fin lourde de sens sauve largement le film.

Publié le 16 octobre 2011
Propos éminemment déceptif de ce film, opposant dans une scène finale magistrale les attentes de l'humanité chrétienne et l'impuissance d'une institution catholique sclérosée et névrosée, par le truchement du personnage d'un cardinal Melville improbable (on ne devient pas cardinal en conservant tant d'innocence...), à la fois naïf et lucide, incolore et indépendant. Moretti se montre ainsi agnostique, mais sans agressivité inutile à l'égard du christianisme, ni de la psychanalyse, mais bien terriblement caustique à l'encontre de leurs représentants auto-proclamés. Selon des connaissances très au fait du fonctionnement de l'institution, la représentation du conclave est étonnamment réaliste... Je partage dès lors le propos de VictorB dans son analyse, mais pas tout à fait son "enthousiasme" quant aux qualités du film, qui n'est hélas pas un authentique chef-d'oeuvre, à mon sens. Il souffre en effet de quelques longueurs qui ne sont pas "divines" (notamment dans les scènes de volley), et de quelques répétitions alourdissant la finesse du propos (le garde suisse dans les appartements du pape). Un film à voir, quoiqu'il en soit.

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