Les Chemins de la liberté

Titre original: The Way Back (2010)
Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2010
Date de sortie: 26/01/2011
Durée: 2h13
Synopsis : En 1940, une petite troupe de prisonniers décide de s'évader d'un camp de travail sibérien. Pour ces hommes venus de tous horizons, s'échapper de cet enfer ne sera que le début de l'aventure... Ensemble, ils vont parcourir plus de 10 000 kilomètres, à travers la toundra sibérienne glacée, traversant les plaines de Mongolie, les fournaises du désert de Gobi puis les sommets de l'Himalaya pour franchir la Grande Muraille de Chine. Certains s'arrêteront en chemin, d'autres ne survivront pas aux épreuves. L'Inde - alors sous contrôle anglais - est le but ultime. Mais la route est longue, les rencontres risquées, les conditions physiques épouvantables, et chacun a ses secrets...
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    6.8/10 5 votes - 6 critiques
  • 2.5/10  Cote de lalibre.be du film Les Chemins de la liberté

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Avis des internautesdu film Les Chemins de la liberté

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Publié le 11 mars 2011
Malgré un bon scénario de base, la mise en scène et le jeu des acteurs restent convenus et sans surprise. Certaines scènes prêtent même à rire, tellement elles sont jouées et filmées de manière désuète (genre un plan d'une longueur infinie sur un acteur en train d'agoniser, qui m'a fait penser à Peter Sellers dans The Party où il caricature une scène du genre - c'est dire!). On a l'impression que Peter Weir est resté coincé aux années 80 dans sa mise en scène et n'a pas évolué depuis, ce qui rend un caractère dépassé au film. Dommage! Il a également fallu trouver un subterfuge (raté à mon sens) pour faire en sorte que rapidement tout ce petit monde issu d'un goulag au milieu de la Sibérie, parle en anglais (avec gros accent russe); ce qui décrédibilise le film. Enfin, je ne suis jamais parvenu à m'attacher ou m'identifier aux personnages. Bref, reste les merveilleux paysages.

Publié le 24 février 2011
Un bon film qui a pour thème la survie. Les autres thèmes sont peu abordés. Tant mieux, ici, pas d'effets faciles, de retournement de situations ou de personnages clichés. Colin Farell en fait un peu trop mais ça passe. La force du film est de se rpeoser sur son histoire déjà suffisament forte en elle-même. Ceci dit, je peux comprendre qu'on ait envie de de rebondissements ou de lyrisme.... Suffit d'aller dans une autre salle. Voilà, les paysages sont exceptionnels et la fin un peu "gentille" mais bon, ça n'enlève rien au film. 7,5/10

Publié le 20 février 2011
Weir manie toujours aussi bien la caméra. Le film manque parfois un peu de souffle ( malgré le blizzard et la tempête de sable ) et est un " peu lisse" ( mais c'est normal car on a intérêt à être bien couvert ). Une belle histoire de l'Oncle P(eter ).

Publié le 31 janvier 2011
Acht jaar na "Master and Commander" heeft Peter Weir toch nog een nieuwe film kunnen maken. "The Way Back" is een vrij ambitieuze film die het al dan niet waargebeurde verhaal vertelt over een aantal gevangenen die uit een Siberisch kamp ontsnappen en al wandelend de vrijheid in India (!) tegemoet gaan. Een tocht vol ontberingen dus, en alvast een dikke pluim voor de make-up mensen die de lichamelijke transformaties accuraat weten weer te geven. Zoals steeds in Weir's films is ook deze keer de fotografie onberispelijk. Helaas gaat de film ruim over de twee uur en is ook het acteerwerk eerder matig (de acteurs spreken Engels met zeer zware accenten en dat doet de geloofwaardigheid verre van goed) zodat het al bij al net een voldoende oplevert. By the way het wordt echt wel tijd dat Colin Farrell nog eens én goed gaat acteren én opduikt in een meer dan matige film.

Publié le 31 janvier 2011
"The way back" de Peter Weir : un petit film pour un grand thème. Weir a le mérite impressionnant de s'attaquer au thème du Goulag. Hélas, il le fait sans âme. La première demi-heure pose bien le décor, mais le reste s'étire comme un long trek géographique de la Sibérie à l'Inde, malgré de superbes images. Surgess est peu inspiré, Farrell plein de tics, et Harris fait rayonner son visage parcheminé. Hollywood reste faible sur l'histoire soviétique (comme le montrait déjà "defiance" de Zwick).

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