pekka

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Publié le 7 janvier 2012
Eh bien, oui, Indiana, je suis d'accord avec toi : merci à Brad Bird pour cette plutôt bonne surprise dans le genre (n'était toutefois, hélas, l'atroce scène finale gnangnan).

Publié le 7 janvier 2012
Une excellente année cinéma pour tous ceux qui l'aiment, sous toutes ses formes !!! Je tire mon chapeau à VictorB, Accatone et au petit (?) nouveau Billy-Ray (bienvenue !), capables de citer 20 (!) meilleurs films de l'année. Sans doute (?) ont-ils peut-être la chance d'habiter Bruxelles et/ou Liège (;-p, cher V.-E.), villes où l'offre est supérieure à celle de Mons, future "capitale européenne de la Culture" (...). Certes, nous avons le "Plaza-Art", dit le "Baza-Art", tant les conditions techniques (écrans, projecteurs et/ou projectionniste), d'horaire ("Le gamin au vélo", p.ex. - ou toute autre (co-)production Wallimage - tous les jours ou presque à 20h dans la meilleure salle, et les films les plus rares ou intéressants aux jours et séances seules accessibles aux étudiants brosseurs, aux pensionnés ou aux chômeurs) et de confort y sont hasardeuses, ou encore "Imagix", qui remplit l'exploit d'être le complexe projetant le plus de nanars et de séries Z- de tout le pays, et ce le plus longtemps, aussi... Cela étant, je me réjouis donc de pouvoir encore découvrir tant de très bons films (en DVD, sans doute, car d'Ecran Total, nous serons sans doute orphelins en 2012). Je meurs ainsi d'envie de découvrir, avec retard, 'Il était une fois en Anatolie', 'Pater', 'Detective Dee', 'Mafrouza', 'Hors Satan', 'Essential Killing', 'L'étrange affaire Angélica', 'Les mystères de Lisbonne', 'Le cheval de Turin', 'La grotte des rêves perdus' et bien d'autres ! Mais j'ai d'ores et déjà apprécié pleinement 'Mélancholia' (le film le plus juste et exhaustif sur les symptômes de la dépression, ouvert à plusieurs niveaux de lecture : une plongée dans un état limite de la féminité, touchant au cosmique; une dénonciation du néo-fascisme matérialiste totalisant et mortifère; une parabole psychanalytique et thanatophile de la maternité, l'abordant sous un autre angle (mère-fille, après mère-fils) qu''Antichrist', etc.). J'ai aussi beaucoup aimé - avec lucidité et/ou mesure, toutefois - 'Somewhere', 'Le quattro volte', 'Tree of Life', 'L'Appolonide', 'Habemus Papam', 'Super 8', 'La dernière piste', et quelques autres. A l'instar de mes amis cinéphiles, je déplore également l'état du paysage de la distribution des films et de l'existence même - trop rare - de salles de cinémas audacieuses, passionnées, bien gérées et contagieuses (dans le sens d'une fièvre d'éducation au langage du 7ème Art). A bientôt, qui sait?

Publié le 23 décembre 2011
Très peu de choses à dire en rajout au commentaire de VictorB : 'Drive' est un film où la forme (très travaillée et référencée, 'American Gigolo', 'Le Samouraï', 'History of Violence', entr'autres) importe davantage que le propos (très basique dans ses décalques de films mafieux à la Scorsese ou Coppola). Le plaisir vient sans doute de ce que le travail fleure bon le fignolage artisanal, car d'originalité créatrice, point !

Publié le 17 novembre 2011
Ce film suscite des sentiments mêlés. Sa réussite et son échec réciproques sont patents, à mon sens. Foncièrement et intentionnellement déceptif (à l'instar d'Habemus Papam, mais d'une autre manière, ici par sa distanciation teintée de froideur), il fascine par une alliance rare de minimalisme épuré et de maîtrise de la mise en scène et de réalisme inexorable dans la description d'une épidémie, et provoque le rejet par des approximations ou contresens scientifiques (attention spoiler: la consommation d'un porcelet laqué rôti (!) contaminé par un fruit (cru, lui...) imprégné de salive de chauve-souris, et non l'inverse, cher VictorB...) et la complaisance paradoxale à l'égard de l'organisme fédéral US de recherche et dépistage de tels risques épidémiologiques, renforcée par une issue de crise en rupture de ton par son optimisme excessif. Intéressant, voire prémonitoire, mais incohérent.

Publié le 17 novembre 2011
Belles critiques de VictorB (artistiquement tout à fait pertinente) et d'Accatone (que je rejoins sur le fond). Eh oui, la "magie" d'Almodovar est devenue bien laborieuse, dans des décors abusivement 'Architectural Design - AD' ou 'Vogue Home'...

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