Inherent Vice

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Crime
  • Drame
  • Comédie
Public: À partir de 12 ans
Année de production: 2015
Date de sortie: 04/03/2015
Durée: 2h28
Synopsis : L'ex-petite amie du détective privé Doc Sportello surgit un beau jour, en lui racontant qu'elle est tombée amoureuse d'un promoteur immobilier milliardaire : elle craint que l'épouse de ce dernier et son amant ne conspirent tous les deux pour faire interner le milliardaire… Mais ce n'est pas si simple... C'est la toute fin des psychédéliques années 60, et la paranoïa règne en maître. Doc sait bien que, tout comme "trip" ou "démentiel", "amour" est l'un de ces mots galvaudés à force d'être utilisés – sauf que celui-là n'attire que les ennuis.

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Avis des internautesdu film Inherent Vice

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Publié le 2 avril 2015
PTA poursuit dans la lignée de son Master avec un film encore plus torturé, ne se livrant pas facilement. Déroutant du début à la fin avec son récit alambiqué qui ne nous épargne pas avec ces multiples apparitions et digressions confinant souvent à l’absurde. Depuis the master le récit n’est plus au centre des préoccupations de PTA, on est plutôt dans un modèle de déconstruction du récit. La mise en scène prend évidement le dessus avec notamment une direction d’acteur hors norme. Le couple Phoenix/Brolin succède au couple Phoenix/Hoffman. Dans les deux cas ce sont deux sortes de freaks qui surnagent dans une Amérique dont les mythes ne seraient que des caches misères. Ici le psychédélisme est une formidable matière pour défricher ce qu’ils restent des hommes quand les croyances s’effondrent.

Publié le 17 mars 2015
On sort de la salle après avoir espéré pendant 2h 30 y comprendre quelque chose, en vain, et en pensant avec une pointe de regret au jubilatoire The Big Lebowski ou au saisissant The Master.

Publié le 13 mars 2015
Un film magique avec des personnages tellements marrants et des dialogues extraordinaires, sans rhétorique ou de la morale bidon: chaque personnage est un portrait qui donne du plaisir juste à etre vue. L histoire j ai rien compris, mais je me suis rarement tellement amusé au cinema. PS: je fais pas usage de drogue

Publié le 13 mars 2015
On essaye de se passionner au début mais cela ne dure pas et le film dure...2 heures et demie!!!! A force d'être dans les vapeurs d'herbes ou autres drogues et de ne rien comprendre,on s'ennuie ferme et on s'endort. Très déçue du jeu de Joachin Phoenix qui reproduit celui, génial,de Jeff Bridges dans The Big Lebowski

Publié le 11 mars 2015
Le film se veut une référence au roman noir comme le grand sommeil de Chandler, c'est réussi au niveau du titre car c'est bien le grand sommeil qui arrive très rapidement face à cette intrigue incompréhensible et verbeuse au possible. Ce n'est pas Joaquin Phoenix en roue libre qui sauvera ce nanar intello de Paul Thomas Anderson qui est à mon avis le plus surestimé des réalisateurs actuels. Pour les amateurs de somnifères hypnotiques ça pourra plaire.

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