Hunger Games

Titre original: The Hunger Games
Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Aventure
  • Action
  • Science-fiction
Public: Tout public
Année de production: 2012
Date de sortie: 21/03/2012
Durée: 2h22
Synopsis : Dans les ruines de ce qui était autrefois l’Amérique du Nord, douze districts sont dirigés d’une main de fer par le Capitole. Le gouvernement du Capitole les oblige à envoyer un garçon et une fille âgés de douze à dix-huit ans. Ces enfants devront participer au grand jeu télévisé annuel: Les Jeux de la Faim. Agée de 16 ans, Katniss Everdeen se porte volontaire aux Jeux pour sauver sa petite sœur, et l’empêcher de concourir. Un seul des 24 concurrents survivra. Pour gagner et rentrer chez elle, Katniss devra faire un choix : son humanité, la vie et l’amour...

Actualités du film Hunger Games

Tweets racistes pour Hunger Games

Ils suscitent une grande polémique aux États-Unis

Véritable carton pour "The Hunger Games" au box-office !

Il réalise aux Etats-Unis le meilleur démarrage de tous les temps pour un film qui n'est pas une suite.

Avis des internautesdu film Hunger Games

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Publié le 2 janvier 2013
Le Prix du danger, Running Man, Battle Royale, autant de références de périodes et qualités diverses pour ce somme toute bon film, plus intelligent que la moyenne des productions pour ados. Le thême et la critique de la réalité sont développés avec une originalité à laquelle les blockbusters de ces dernières années ne nous habituaient plus. Jennifer Lawrence est très bien, Donald Sutherland est cabotin à souhait, et le décompte des morts laisse place à quelques surprises. Pas mal du tout !

Publié le 16 août 2012
Un peu déçu vu le déballage médiatique mais cela reste correct. Il manque quand même cruellement d'actions je trouve. Les japonnais ont fait mieux à ce niveau.

Publié le 4 mai 2012
Hunger Games reprend Jennifer Lawrence là où Winter's Bone de Debra Granik l'avait laissée : c'est-à-dire en fille courage se battant bec et ongles pour sa famille dans un ghetto rural et ouvrier très pauvre du fin fond de l'Amérique ...pour mieux la propulser dans un corps et un costume qui ne sont pas les siens, à l'opposé : celle d'une ado-star en robe moulante, puis otage en tenue de combat d'un jeu barbare de télé-réalité à la (sur)vie à la mort. Frappé du cachet de l'anticipation, l'univers ici dépeint est le cul entre les chaises de la comédie romantique du teen-movie putatif et de l'anticipation à la patine classico-moderniste (disons à la Fahrenheit 451 ou 1984 -les films) du plus haut mauvais goût, où les jeunes des districts métaphorisent lourdement n'importe quelle communauté opprimée par le pouvoir des élites. Et si par addition mimétique, Lawrence est bien partie pour devenir la star hollywoodienne qu'on rêverait, l'air mutin et candide d'enfant-star à la Miley Cyrus + les yeux creusés et magnétiques de (l'oubliée ?) Thora Birch + la blondeur insolente de Scarlett Johansson, le kitsch du rétro-futurisme formel rapproche le film davantage du côté de Rollerball de Norman Jewison, The Most Dangerous Game de Pichel & Shoedsack (de bonne mémoire de Cinécriture) ou même de Koh-Lanta (la dialectique fôret menaçante/providentielle) que de Battle Royale, qui tient plus de l'anecdote. D'ailleurs effrayé par la dimension prophétique de son propos, Hunger Games passe autant de temps à avancer ses pions qu'à les saper en s'étonnant de ses propres audaces et éponger son visuel de toute trace de sang -on dirait un jeu pervers sur le hors-champ à la Haneke, ou un zigzag malicieux avec un code Hays périmé, sauf peut-être pour les ligues de puritains. Autant dire que cette timbale décrochée (gros succès du box-office aux U.S.A.) est largement au-dessus des moyens du tâcheron engagé pour la signer : Gary Ross, (peu) responsable des fades Seabiscuit, Pleasantville et La Légende de Despereaux. Son découpage s'affole dans une schizophrénie migraineuse : caméra sur pied pour les scènes de bivouac, caméra épaule épileptique pour les scènes d'action et montage cubiste à la Michael Bay. Le compromis mou est décidément la seule marque esthétique de ce produit et le débat moral qui devrait former le cœur du propos n'aura donc pas lieu alors que la pulsion de mort des ados (bien vu par Alleluias) sera en revanche exploitée jusqu'à la nausée du climax final. L'épouvantable tartine sentimentale qu'on croyait évitée nous est finalement livrée en fin de repas et la jeune Katniss sommée de choisir entre ses deux prétendants. Le suspens de sa réponse n'est qu'un secret de polichinelle, un appel du pied le sequel déjà prévu pour 2014. Le reste est quantité négligeable, réduit à sa cosmétique de surface et des caméos sympathiques (Donald Sutherland, Lenny Kravitz, etc.). Comptez quand même une bonne heure avant que l'action ne démarre.

Publié le 13 avril 2012
Un espèce de Battle Royal revisité à la sauce américaine et adapté d'un roman. Le synopsis avait l'air ultra intéressant mais arrivé dans la salle ça peine à s'activer, on pateauge longtemps avant d'avoir de la "vraie" action et la violence est trop contenue. Finalement j'ai préféré le coté préparation à la survie plutôt que la survie en elle-même. Coté caméra, c'est le mal de mer, dès les premières minutes j'avais déjà la tête qui tournait avec ces mouvements incessants qui fatiguent lors des combats finaux. Bref, pas spécialement un mauvais moment de cinéma mais je vais m'empresser d'aller revoir le grand Battle Royal car j'ai été frustré après être sorti de cette séance... Un gout de trop peu!

Publié le 11 avril 2012
L'ambiance du livre est bien restituée, la photo est superbe. Je regrette seulement les grands mouvements de caméra au début du film ... j'avais presque le mal de mer ! Par contre la même technique était bienvenue pour les moments de grande violence ... on comprend se qui se passe sans voir les détails "gore". C'est beaucoup plus qu'un film pour ados si l'on se donne la peine d'y réfléchir... Le casting est superbe et les jeunes comédiens sont parfaits.

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