Sagan

Origine:
  • France
Genres:
  • Biopic
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2008
Date de sortie: 16/07/2008
Durée: 1h57
Synopsis : "Sur ce sentiment inconnu, dont l'ennui, la douceur m'obsèdent, j'hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse." Françoise a tout juste 18 ans quand elle écrit les premières lignes de Bonjour Tristesse, un roman dont le succès fulgurant suffira à lancer le mythe de " La Sagan ". Un mythe fait de formules brillantes, d'amours affranchies et de scandales tapageurs, derrière lesquels se cache une femme, que l'on qualifie d'anticonformiste pour ne pas la dire libre. Libre d'écrire, d'aimer, et de se détruire...
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    7.2/10 8 votes - 8 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Sagan

  • 2.5/10  Cote de DH.be du film Sagan

Avis des internautesdu film Sagan

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Publié le 6 octobre 2008
Un peu long & peu lent par moment... Mais cela n'enlève rien à l'extraordinaire prestation de Sylvie Testud !

Publié le 18 août 2008
Excellent film et interprétation magnifique de Sylvie testud. Un bon film pour l'été.

Publié le 12 août 2008
Magnifiquement joué par Sylvie Testud. Le sujet est intéressant ; j'ai appris pas mal de choses sur Mme Sagan. Le film est profond, touchant sans tomber dans le larmoyant à tout va. Bonne surprise!

Publié le 12 août 2008
Décevant, à de multiples égards, même s'il a quelques attraits formels (caméra, interprètes, bande sonore). Si la substance de Sagan se limite à ce que Kurys (qui a fait beaucoup mieux) expose ici, on comprend que l'auteur ait été neurasthénique. A ce compte, c'est plutôt "Bonjour les dégats" que son premier roman aurait dû s'intituler. De réception en casino, de whisky en drogue, on cherche en vain tout ce qui motive cette ribambelle de personnages artificiels, dépourvu de la moindre profondeur. Testud a des capacités certes, mais elle est plombée par un scénario dont on dira qu'il est plus inexistant que mauvais. Les clichés des revues people sont multipliés quasiment à l'infini. A moins que ce film ne doive être pris au 36ème degré et qu'il constitue en réalité le meurtre rituel d'une des premières littératrices légères consacrées par la télévision. Auquel cas un nouveau titre s'impose de lui-même : "L'infinie vacuité de l'être littéraire".

Publié le 8 août 2008
Un peu long et pas vraiment pris aux tripes, trop d'effet pour larmoyer. Ce qui était scandaleux avant '68 n'est l'est plus beaucoup.

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