Shooter, tireur d'élite

Titre original: Shooter
Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Action
  • Thriller
Public: Tout public
Année de production: 2007
Date de sortie: 11/04/2007
Durée: 2h04
Synopsis : Un tireur d'élite vivant en exil est à nouveau amené à passer à l'action après avoir entendu parler d'un complot visant à tuer le président. Finalement doublé et accusé de cet attentat, il prend la fuite à la poursuite du vrai tueur pour découvrir qui l'a piégé et pourquoi.
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    7.1/10 10 votes - 10 critiques

Avis des internautesdu film Shooter, tireur d'élite

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Publié le 3 janvier 2010
Il est facile de résumer ce film, belle intrigue, excellents acteurs et de l'action bien dosé. Quelques scènes très impressionnantes par ailleurs. Bref, conseillé.

Publié le 3 juin 2007
Chouette intrigue, bon dosage d'action et de suspense. A voir pour passer un bon moment !

Publié le 16 mai 2007
Bon petit film d'action. C'est bien rythmé, le scénario tient la route et les personnages sont pas mal traités. Bref, une bonne surprise car Antoine Fuqua a quand même fait quelques très mauvais films auparavant (Tears of the sun ou King Arthur).

Publié le 14 mai 2007
Quand un film évoque la période des glorieuses, ce que je rappelle, est cette période située entre 1978 et 1987 ; soit la bande-annonce de “Piranha” de Joe Dante, présenté par Remo Forlani sur Télé Luxembourg et “L’arme Fatale” de Richard Donner, diffusé en français au Marivaux lors de la première “journée du cinéma” en Belgique, 5 francs le film. Cette période où le cinéma, pour moi, était vu à la télé et en français. Époque bénie, où je découvris une majorité de films qui d’emblé furent inoubliables : “Flic ou Voyou, Portés Disparus, American Ninja, Le Professionnel, Reno. Armé et Dangereux, Dans la Peau d’un Flic, Dressé pour tuer, Le Marginale, Deux Super Flics à Miami, …”. Films, qui malgré leur qualité toute relative après quelques années d’hibernation, restent des mètres étalons, des références ultimes pour les films qui les succédèrent dans la catégorie des films “du samedi soir”. Quand un film évoque donc, cette époque, celui-ci se retrouve dans une position délicate qui le rend à la fois le immédiatement sympathique mais qui le place très haut dans les attentes. Le Professionnel. Voilà un film qui reste une de mes références. Suivront une multitude de films de baroudeur, tireur d’élite, mercenaires, tous seront comparés au “Professionnel”. Je pense avoir 10 ans quand je vois pour la première fois sur un drap beige, au fin fond d’un camping, au fin fond de l’Ardèche, ce qui restera un sommet du cinéma. Tant ce film reste définitif. L’intro africaine, la scène chez l’ami-traître collectionneur de robots, la scène finale de l’hélico, le thème musical d’Ennio Morricone et enfin Jean-Paul Belmondo. Belmondo est au meilleur de sa forme, le nec le plus ultra pour l’homme moderne franco-belge, initiant à une majorité d’hommes se situant entre 25 et 50 ans, à la mode masculine et au look ultime de l’homme qui sent l’homme, qui n’a peur de rien et qui à défaut de devenir un flic en civil deviendra contrôleur des transport en civil. Les Cow-boys. Un look basé un accessoire indispensable, la veste en cuir bouffante, ce qui facilite le rangement discret du magnum python ou à défaut le bide quand on est contrôleur des transports. Par la suite, je revis “Le Professionnel” par épisodes lors d’une de ses nombreuses rediffusions de l’une ou l’autre soirée de “deux films, sinon rien.”, fût surpris par de nombreux détails nouveaux ou changés, tels que le fait que Belmondo ne ressemblait pas tant que ça à mon père, que la musique me faisait dorénavant plus penser à de la pâtée pour chien qu’à Belmondo et donc à mon père ou que les cascades dans les films français paraissent plus molles que les cacades américaines. Au-delà de l’anecdote, “Le professionnel” développa ma passion pour un cinéma burné fait d’homme dans un univers d’homme. Où la présence d’une femme n’est que peu souhaitée, si ce n’est pour mourir à la fin de la première bobine ou être malmené et peu vêtue lors des temps morts, où un homme ne voyage pas sans son flingue ; où il est le bienvenu de terminer un carnage par un bon mot, une grosse vanne. Développa aussi cette idée que les mercenaires, baroudeurs, tireurs d’élite ne pouvaient pas être totalement mauvais. Avant tout des hommes trahis et obligé de se défendre en faisant ce qui savaient faire de mieux. Tuer. Tant d’idées dont on me fit comprendre la teneur relativement réac – soit vers l’âge de 14 ans, quand il fut de bon ton de me transmettre une vraie indépendance d’esprit. Les Américains étaient les méchants, Rocky et Rambo étaient des films de propagande à la gloire du capitalisme. Et “être de droite” était un gros mot – Tant d’idées, relativement réacs que j’appris par la suite, ne sont admises qu’au cinéma et pas dans la vraie vie. Tout ça pour en arriver à “Shooter” ? “Shooter” fleure bon cette période, donc. Voilà un film élevé à la fonte. Un métrage façon “Guerre froide”. Un grand film en VHS. Mark Walhberg est Jean-Paul Belmondo. Alors que celui-ci coule des jours heureux à la montagne, à tirer à la carabine sur des boîtes en conserves, à apprend à son chien à aller chercher de la bière au frigo et à déceler des conspirations dans les journaux ; voilà qu’on vient réveiller sa fibre patriotique. Le président est menacé, et vu que le président n’est pas joué par Harrison Ford et Jack Bauer à autre chose à foutre ; voilà donc notre bon Jean-Paul de retour aux affaires. Mais ce serait trop facile. D’emblé le scénario ou cahier des charges prend le contre pied de se qu’on attend. Ce qui peu sembler à la fois audacieux et totalement crétin vu que pour ce genre de production, il est nécessaire de respecter les figures imposées. Enumérations : Alors qu’il nous avait habitué à être du coté des vieux gentils, voilà que Danny Glover s’avère être un vrai méchant. Alors que la potiche de service, Kate Mara, nous offre un premier plan “Pyjama-trop-léger-jeune-fille-frileuse-tétons-peu-farouches” assorti aux caractéristiques “Rousse-peau-claire-poitrine-honorable-tétons-foncés” ; alors que l’on présageait d’un beau frontal, l’érotisme de rigueur reste timide. Alors que le Sidekick est joué par un parfait inconnu et mérite donc d’être éliminé sans aucune précaution, voilà un second rôle qui sera épargné et accompagné de sa potiche personnelle. Alors que l’on aurait aimer voire la présence de Ned Beatty agrémenter de l’une ou l’autre allusion à son rôle de cochon improvisé dans “Délivrance” ; celui joue les monstres de fin de stage sudiste avec tout le talent que l’on attend pour le rôle d’une gros redneck. Soit gros et redneck. En proposant à la fois une bonne série B tout en caviardant de petites pépites bien rustiques, fait sans aucun cynisme trop fier envers le genre. En secouant la donne. “Shooter” devient, à défaut d’un nouveau mètre étalon, un film rentrant dans la catégorie des films “franchement, ch’ai pas. Y’a aucune nouveauté qui m’tente… Je me rematerais bien “Shooter”, t’sais le film avec Mark Walberg et la petite rousse à beaux seins…”. Et ça, ça en fais déjà un bon film. dirtyaudience.blogspot.com

Publié le 3 mai 2007
Acteurs très crédibles. Bon film d'action, sans grand suspens! Par contre, la réalisation et les prises de vue sont impeccables et font qu'on entre très vite dans l'histoire. Bon moment de détente!

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