Une grande année

Titre original: A Good Year
Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2006
Durée: 1h58
Synopsis : Max Skinner, un redoutable banquier d’affaires anglais, vient d’hériter du vignoble provençal où il passait autrefois ses vacances d’été aux côtés de son oncle excentrique. Il y retrouve Francis Duflot, le vigneron qu’il a connu enfant et qui veille depuis trente ans sur les cépages...
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    7.5/10 7 votes - 7 critiques

Avis des internautesdu film Une grande année

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Publié le 21 janvier 2007
excellente surprise , simple, frais, maison superbe , acteurs étonnants à voir

Publié le 18 janvier 2007
J'ai été agréablement surpris par ce film que s'est fait descendre par les critiques. Le début me faisait un peu peur. Mais ensuite, j'ai beaucoup apprécié l'ambiance, la réalisation et la douceur de ce film. Ridley Scott est bien un formidable faiseur d'images. Russel Crowe est très bon dans un registre inhabituel pour lui. Ce film n'a rien d'exceptionnel mais c'est un bon petit film intimiste qui donne le sourire, un peu comme une bonne sucrerie.

Publié le 18 janvier 2007
J'ai été étonnée que les critiques descendent en flamme ce film. Ce n'est pas un chef d'oeuvre, c'est une petite tranche de vie où les protagonistes ne sont pas tous merveilleux ou carrément méchants. J'ai apprécié que Ridley Scott ne me prenne pas pour une idiote: le personnage principal a de l'argent, parce qu'il bosse et qu'il mène une vie où l'argent va et vient.J'ai aimé qu'il n'y ait pas de grands élans de sentiments gluants, mais au contraire des petites touches, petit à petit. J'ai apprécié le fait que le casting mélange autant de l'anglais, le toujours excellent Tom Hollander, aussi bien que du franchouillard tel que Didier Bourdon, que je n'attandais vraiment pas ici. Le seul reproche que j'adresse à ce film c'est le manque de personnages secondaires plus étoffés, ils sont là mais sans grande importance. La qualité de l'image et le son sont très bons.

Publié le 12 janvier 2007
La sortie d'un nouveau film de Ridley Scott est toujours un évènement, quel que soit le genre et le casting. Avec une comédie sur le vin avec Russel Crowe, Marion Cotillard, Didier Bourdon et Albert Finney, le potentiel était évident tant il confirme que Scott est capable de diversifier les styles à condition qu'il le fasse bien. Malheureusement, cette Grande Année déçoit énormément. Après un premier quart d'heure Londonien très intéressant, le film bascule rapidement dans les plus gros clichés sur la France : Alizée, Charles Trenet, les paysans crados, croissants et café, etc...Plus d'une heure et demi d'ennui pendant laquelle seule l'esthétisme et quelques plans typiques de Scott sauvent le film du naufrage complet d'où ma note, sinon j'aurais bien mis 0 ou 1). Ce n'est hélas pas suffisant, on ne rit jamais et la fin est prévisible. En gros, Scott livre son plus mauvais film (pire que Lame de Fond et G.I.Jane), de la piquette quoi.

Publié le 5 janvier 2007
Il y a beaucoup à dire sur ce film. La première qui s’impose c’est que l’on a beaucoup de mal à accepter qu’il soit réalisé par Ridley Scott. On y trouve rien de ce qui démontrait au travers d’œuvres comme « Alien », « Thelma et Louise » ou « Les duellistes » une véritable capacité d’auteur et de réalisateur prompte à enchanter le public. Passons. On doit reprocher aussi que Russel Crowe accuse une décennie de trop pour son rôle de trentenaire. Il a beau afficher une futilité et un détachement certain, il ne ressemble à rien d’autre qu’à un quadra has been et s’avère peu crédible en golden boy aux griffes acérées. On peut également s’agacer de cette image bébête de la France peuplée de beaufs ou de snobs, qui veut que l’on roule en Smart pour le in ou en 4L pour le out, que l’on picole à tout va… Enfin, on est en droit de s’énerver dans le manichéisme du propos : à mort le pouvoir de l’argent, vive les vrais valeurs dont celle du terroir, de l’amour… A contrario, on peut occulter tout cela, et se laisser coupablement prendre par l’attrait de cette comédie simpliste qui n’a d’autre prétention que de nous faire passer un moment agréable, sans forcément marquer les esprits. Entre « La Siroque » et « Coin perdu » les deux crus produits par le Domaine dans le film, Ridley Scott a retenu la piquette. Mise en bouche facile, saveur aux tanins éventés, bouquet sans consistance.

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